jeudi 18 avril 2019

Visite du supérieur général de l’ordre des écoles pie au siège de l’ICALDE


Le Supérieur Général de l’Ordre des écoles Pie le P. Pedro AGUADO, en présence du Supérieur Provincial pour l’Afrique centrale le P. Evraristus AKEM et du Délégué Général à l’ICALDE le P. Jean de Dieu TAGNE, a visité le siège de l’ICALDE ce vendredi 05 mars 2019. Sur place le Vice-Directeur de l’institut,  Dr Narcisse Talla a procédé à la présentation des différents bureaux qui constituent ce siège. Cette visite très brève a permis au Supérieur Général de l’Ordre des écoles Pie de toucher du doigt la réalité de la mise en place de cet institut qui offrira aux acteurs de l’éducation un master en ligne en Droit à l’éducation dans les filières suivantes : leadership, lobbying et plaidoyer. 

Presentation of the Calasanz Institute of the Right to Education (ICALDE) to the Congregation for Catholic Education



On Wednesday, March 20, the delegate of Father General for the ICALDE, Fr. Jean de Dieu Tagne, the Assistant of Father General for Asia, Fr. József Urbán and the Director of the ICALDE, Dr. Herrick Mouafo, were received at the Vatican City by His Excellency Mgr Zani, Secretary of the Congregation for Catholic Education of the Holy See, accompanied by Fr. Ciro Guida and Fr. Roberto Hernandez.

ICALDE Evaluation Meeting in Rome



Father General, Fr. Pedro Aguado and the General Assistant for Asia, Fr. József Urbán, have met on March 15 at the General House of San Pnataleo with Dr. Herrick Mouafo, director of ICALDE and Fr. Jean de Dieu Tagne, delegate of Father General for the ICALDE.

School Violence, an Obstacle to Quality Education


         
        According to ANJA NGWO Simon (2007:146), “If a student misbehaves, the teacher should accept the student and not his behaviour.” But the reality in schools proves that learners are somehow rejected because of their errors. This automatically affects their education, just like their misconduct also constitutes an obstacle to their mates’ education. Violence being one of the most frequent misbehaviours, it goes without saying that it is a hindrance to quality education. This article is aimed at bringing out some of the obstacles to quality education due to violence in the school milieu.

LES FACTEURS ENDOGENES ET EXOGENES DE LA VIOLENCE EN MILIEU SCOLAIRE

  D’après l’Organisation Mondiale de la Santé, la violence est « l’usage intentionnel de la force physique, du pouvoir sous forme de menaces ou d’action contre soi-même, autrui ou un autre groupe ou une communauté dont la conséquence réelle ou probable est une blessure, la mort, un traumatisme psychologique, un mauvais développement ou encore la précarité ». Pris dans ce sens il convient de remarquer que le phénomène de violence est aussi vieux que le monde et permanent dans l’histoire de la jeunesse et des âges ! La violence est donc un comportement non désiré, perçu comme étant hostile et nuisible, portant atteinte à l’intégrité physique ou psychique d’une personne, à ses droits ou à sa dignité. En milieu scolaire, la violence peut être vécue, et commise, par des élèves ou par le personnel scolaire.

LES MANIFESTATIONS DE LA VIOLENCE EN MILIEU SCOLAIRE



« Non à toutes formes de violence! », peut-on lire sur diverses affiches en milieu scolaire. Les supports qui hurlent ainsi la réticence à la violence trahissent l’existence de ce fléau contre lequel l’établissement tient à lutter. Le mal est d’ailleurs tellement profond que ces messages n’ont pas encore pu l’extirper. Les victimes sont les élèves, mais aussi les encadreurs. En effet, la violence contre les éducateurs est désormais très courante au sein de l’institution scolaire. Mais la présente production vise surtout à mettre en exergue quelques formes de violence dont sont victimes les élèves.

L’EDUCATION A LA PAIX EN MILIEU SCOLAIRE : UNE URGENCE POUR NOTRE SOCIETE AU BORD DU PERIL



De son étymologie latine « educere » (guider, conduire hors), l’éducation se définie comme l’action de développer un ensemble de connaissances et de valeurs morales, physiques, intellectuelles, scientifiques, sociales…, considérées comme essentielles pour atteindre un niveau de culture souhaitée. Bien plus, l’éducation permet de transmettre la culture nécessaire au développement de la personnalité et à l’intégration sociale de l’individu, et ce, d’une génération à l’autre. Vue sous cet angle, on ne saurait nier le rôle que joue l’éducation dans la société, surtout en tant qu’elle favorise l’épanouissement humain, le vivre ensemble et la promotion des valeurs telles que la justice et la paix. C’est à cette dernière valeur que nous voudrions nous intéresser. D’où le titre de notre article : « L’éducation à la paix en milieu scolaire : une urgence pour notre société au bord du péril ». En d’autres termes, l’éducation à la paix ne se fait-elle pas de plus en plus urgente en milieu scolaire, dans un monde qui se meurt à grande vitesse des valeurs de fraternité et d’humanité ? Eduquer les enfants et les jeunes n’est-il pas devenu de nos jours, et plus que jamais, un impératif catégorique, si nous voulons sauver les générations futures de l’emprise des vices pernicieux ? Nous entendons bâtir notre réflexion à partir de ces quelques interrogations. Mais avant d’y tenter des réponses, nous voudrions d’entrée de jeu jeter un regard sur les différentes connotations de la paix.

DROGUE EN MILIEU SCOLAIRE : un tueur silencieux


  De plus en plus employé dans les familles, les établissements et même les plateaux télés, le mot drogue est de nos jours très présent dans la société camerounaise. Les récents évènements depuis cinq à trois ans, justifient l’intérêt porté à cette nébuleuse. La drogue puisqu’il s’agit d’elle, est une molécule qui a un effet sur le cerveau modifiant les perceptions et le comportement de l’individu. Elle modifie la manière de percevoir les choses, de penser, elle donne à la réalité un autre visage qui n’est pas toujours dans l’ordre normal des choses. Elles sont catégorisées en deux groupes : les drogues dures et celles douces. Les premières induisent une dépendance physique et psychologique tandis que les secondes ont moins de facteurs conduisant à la dépendance mais, altèrent la réalité. Ces drogues sont donc soit euphorisantes soit hallucinogènes et même, d’autres endorment ou stimulent le cerveau.

LANCEMENT DES ACTIVITÉS DE L’ANNÉE 2019-2020 ET RENTRÉE DES VOLONTAIRES À BLAS IN AFRICA !

Après publication de l’appel à candidature pour le volontariat au sein de l’organisation à but non lucratif Blas in Africa et après entret...