jeudi 6 juin 2019

DOPOSCUOLA, LES BENEFICIAIRES EN PARLENT.



Je m’appelle TAPA Félix élève en classe de Terminale A4 série Espagnol au Lycée de Biyem-Assi. Je suis inscrit au programme DOSPOCUOLA pour ma troisième année donc je suis là depuis que je fais la classe de Seconde. J’ai suivi dans les années antérieures les différents cours dispensés au sein du programme ce qui m’a permis d’obtenir mon diplôme de Probatoire l’année dernière. Le programme me semble indispensable dans la mesure où grâce à ce programme, nous avons des encadreurs disponibles qui se soucient de notre évolution scolaire en nous permettant d’améliorer notre niveau d’étude et de compréhension de certaines matières. Ce programme m’est particulièrement utile en ce sens qu’il m’occupe premièrement en me permettant de bien utiliser et exploiter mon temps libre ; à savoir étudier mes leçons et à restituer mes connaissances au travers des différentes méthodes et causeries éducatives qui nous ont été dispensées par les encadreurs. De plus, l’encadrement holistique reçu me permet d’adopter un comportement social et familial sain. Par la suite, après trois belles années passées au sein de ce programme, je souhaiterais l’intégrer au moment opportun après la réussite à mon examen de Baccalauréat. Merci à BLAS in Africa qui a suscité ce programme d’aide aux élèves en difficulté que nous sommes.



Je me nomme WANGA Magally élève en classe de Terminale A4 Allemand au lycée de la Cité verte. Je suis une ancienne bénéficiaire du programme. J’ai réussi le Probatoire A4 grâce au programme DOPOSCUOLA. En effet cela fait trois ans que je me fais accompagner intellectuellement et psychologiquement par les encadreurs qui dispensent les cours au sein du programme. Sur le plan psychologique, avec les méthodes d’études et les thématiques développées lors des causeries éducatives, j’ai pu retrouver la concentration pendant mes heures d’études ; j’ai appris à gérer mon temps et je suis déjà capable d’étudier toute seule. Sur le plan intellectuel, mes résultats scolaires, avec la compréhension des matières telles que l’Allemand, les mathématiques et la philosophie, montrent que grâce au programme j’ai pu atteindre un palier contrairement au début de la rentrée scolaire. Ainsi donc, le programme me semble très utile pour pouvoir braver mon examen. Aussi, je pense pouvoir après mon examen donner de mon temps pour pérenniser le programme en vue de venir en aide aux enfants scolarisés dont les parents ne peuvent se permettre l’octroi d’un répétiteur à domicile. Sur ce je dis infiniment Merci à BLAS in Africa d’avoir pensé ce programme et de l’avoir réalisé pour notre profit.



Je suis NYINKOL BEKONO Loraine élève en classe de Terminale A4 Allemand au Lycée de la Cité-verte. Cela fait quatre mois que j’ai intégré le programme d’étude DOPOSCUOLA. À mon arrivée au programme, mes notes ne reflétaient pas mon niveau scolaire habituel. Au fur et à mesure de mon intégration au sein du programme, j’ai appris à m’organiser dans mes études. Et avec la rigueur et la qualification des encadreurs, j’ai appris à faire quotidiennement mes devoirs de classe et ceux donnés dans le cadre du programme toute chose qui m’a maintenu dans la recherche des solutions à un exercice difficile et augmenter mon temps d ‘étude. Au-delà de m’avoir permis d’améliorer mon niveau de compréhension et mes notes dans les matières telles que : la Langue française, les Mathématiques et la littérature, le programme m’a semblé utile en ce sens qu’il m’a permis de savoir transmettre aux autres mes connaissances, d’avoir un comportement sain en communauté grâce aux différentes séances de causeries éducatives organisées. Ainsi, je peux déclarer qu’après l’obtention de mon Baccalauréat je pourrais intégrer le programme comme encadreur si l’opportunité m’est donnée. Je remercie infiniment le promoteur de ce programme DOPOSCUOLA, l’association en charge de la promotion du Droit à l’Éducation qu’est BLAS in Africa.

Propos recueillis par Hans. F. MVONDO

LE DÉFI DE LA GRATUITÉ DANS L’ENSEIGNEMENT NATIONAL CONGOLAIS




L’actuel président de la République Démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, a promis de rendre effective la gratuité de l’enseignement primaire et secondaire en RDC, conformément à l’article 43 de la Constitution.  Une annonce qui ferait penser que le nouveau Chef de l’Etat considère avec quelque ingénuité les défis en présence.
D’après le Rapport d’état du système éducatif national (RESEN, 2014), l’ensemble des dépenses courantes liées à l’éducation ne sont financés qu’à 22% sur fonds publics. Les ménages assument le gros des dépenses pour assurer la scolarité de leurs enfants, même pour ceux scolarisés dans les établissements scolaires publics. Cependant la pauvreté des ménages crée un taux de déscolarisation élevé, avec environ 7 millions d’enfants hors de l’école, soit 2 enfants sur 4 ; les infrastructures scolaires sont inadaptées, au point que les salles de classe sont surpeuplées et manque de pupitres.

« ETABLISSEMENTS SCOLAIRES PUBLICS D’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE : Un Encadrement conséquent aux résultats ? »



Le système éducatif au Cameroun est régi par la loi numéro 98/004 du 14 avril 1998, il comporte trois types d'enseignements : Enseignement de base, enseignement secondaire et enseignement supérieur. La particularité du système éducatif au Cameroun est le bilinguisme. En effet, on peut étudier en français, en anglais ou dans les deux langues et obtenir des diplômes équivalents. Dans ce contexte, les établissements scolaires sont repartis en deux grands secteurs :
    le secteur de l'enseignement public : qui relève du domaine de l'État
    le secteur de l’enseignement privé : constitué du privé (laïc et confessionnel)

ETABLISSEMENTS SCOLAIRES PRIVÉS D’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE AU CAMEROUN : UN ENCADREMENT DIGNE DE RÉSULTATS

Le système éducatif au Cameroun est régi par la loi numéro 98/004 du 14 avril 1998, il comporte trois types d'enseignements : Enseignement de base, enseignement secondaire et enseignement supérieur. La particularité du système éducatif au Cameroun est le bilinguisme. En effet, on peut étudier en français et en anglais et obtenir des diplômes équivalents. Aussi, l’éducation au Cameroun est encadrée par deux principaux types d'enseignement :
·                      L'enseignement public : qui relève du domaine de l'État
·                      L’enseignement privé : constitué du privé (laïc et confessionnel)
Notre intérêt dans cet article sera l’enseignement privé. D’où le titre de cet article : « Etablissements d’enseignement privée au Cameroun : Un encadrement digne de résultats ». En d’autres termes, l’enseignement privé a-t-il une place dans le système éducatif camerounais ? Quelles peuvent êtres ses atouts ? En quoi ce type d’enseignement est considéré comme meilleur au Cameroun ?  Telles seront les interrogations qui jalonnerons notre réflexion. Mais avant de répondre à ces questions, il serait louable de présenter les lois qui régissent l’enseignement privé au Cameroun.

LANCEMENT DES ACTIVITÉS DE L’ANNÉE 2019-2020 ET RENTRÉE DES VOLONTAIRES À BLAS IN AFRICA !

Après publication de l’appel à candidature pour le volontariat au sein de l’organisation à but non lucratif Blas in Africa et après entret...